Le VHC, prise en charge thérapeutique actuelle
Le virus de l’hépatite C (VHC) peut aboutir à une infection chronique du foie et entrainer à long terme des complications graves (cirrhose, carcinome hépatocellulaire). Depuis fin 2013 avec l’arrivée des antiviraux à action directs (AAD), les traitements de l’hépatite C ont beaucoup progressé, permettant 95% de guérison avec des durées de traitement allant de 8 à 12 semaines et avec un très bon profil de tolérance.
D’une pierre deux coups : La piste de prévention vaccinale commune contre le gonocoque et le méningocoque
Le méningocoque et le gonocoque sont deux bactéries proches responsables respectivement des infections systémiques sévères et/ou sexuellement transmissibles. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) sont à risque élevé pour contracter ces infections. Des structures communes à ces bactéries peuvent être ciblées par des anticorps protecteurs ouvrant la possibilité de développer des vaccins actifs simultanément contre les deux bactéries.
Les jeunes et le VIH, et chez les jeunes gays ?
Réact’up s’intéresse ici aux jeunes gays, qui représentent la majorité des contaminations parmi les jeunes. Il y a des messages et des stratégies de prévention à tirer de l’analyse de leurs perceptions et connaissances du sida, des protections mises en œuvre, des applications de rencontres qu’ils utilisent, etc.
HPV : traitement des condylomes
Préconiser l’ALDARA® même en usage interne dans le traitement des condylomes anaux au bénéfice du patient !
Méningocoque C : pourquoi les gays ont intérêt à être vaccinés
Après les alertes des autorités sanitaires suite aux émergences épidémiques de méningocoque chez les gays ces dernières années, les chercheurs se sont penchés sur les bestioles responsables et nous ont livré leurs découvertes : les méningocoques s’adaptent à leur environnement. Chez les gays, ils peuvent devenir sexuellement transmissibles.
HPV, condylomes, cancers anaux, vacciner les garçons pour que cela cesse
Reactup propose ici un état des lieux des pathologies résultantes de l’infection par le papillomavirus ou HPV au sein de nos minorités de gays séropo et séroneg, de femme séropo, de trans, afin de voir si les dernières recommandations vaccinales en matière d’HPV sont optimisées pour éviter condylomes et cancers.
Vacciner les hommes gays et bisexuels contre le virus du papillome humain (HPV)
Chez les hommes, le Virus du Papillome Humain (HPV) est la première cause de cancer anal et est aussi associé avec d’autres cancers, comme le cancer du pénis et de la bouche. Ce virus est également la cause de nombreux condylomes. Depuis quelques années, des stratégies de préventions contre le HPV ont été mises en place, la vaccination des jeunes femmes étant considérée comme une priorité. Il a été récemment prouvé que le vaccin contre le HPV était aussi efficace chez les hommes.
Le point sur le papillomavirus chez les gays
Alors qu’il existe dans plusieurs pays un programme de vaccination contre le virus du papillome humain pour les jeunes femmes, une récente étude australienne préconise de vacciner également les jeunes gays. Pourquoi ? Quels sont les facteurs de risque du virus ? Quels liens entre les condylomes ano-génitaux et ce virus ? N’y a-t-il que les pratiques hard pour causer cette infection ?
Hépatite C, VIH et choix sexuels
Cet article présente et discute les résultats du volet qualitatif de l’étude HEPAIG, dont le but était de décrire des trajectoires de gays séropositifs ayant été également diagnostiqués pour une hépatite C aiguë.
Les Gays et le VHC
Les gays et le VHC. L’étude Hepaig, la co-infection et la transmission sexuelle du VHC : un train peut en cacher un autre…
L’épidémie d’hépatite C s’étend chez les gays séropositifs
De nombreux cas de transmission sexuelle du virus de l’hépatite C ont été rapportés ces dernières années chez des séropositifs homosexuels. Une étude hollandaise apporte des informations supplémentaires sur l’ampleur de cette nouvelle épidémie chez les gays.